Le complot [PV: Rei Kuran]

Octave était sur la route depuis plus d'une heure lorsqu'il aperçu enfin au bout de la longue route le grand manoir reconnaissable du clan Drachenflagrion.  Il gara la voiture qu'il conduisait, en faisant bien attention de ne pas la rayer — il n'avait pas envie de recevoir encore une leçon de son père qui avait tendance à être très maniaque sur l'entretien et l'apparence d'à peu près tout — et descendit calmement, réajustant son manteau noir qui lui descendait jusqu'à la cheville, dont le style contrastait quelque peu avec la chemise pourpre et le pantalon noir qui faisaient probablement partie d'un costume.

Il était assez grand, le visage fin et les cheveux bruns assez courts mais qui començaient déjà à se batailler sur sa tête ; ses yeux bleus étaient presque gris, comme si on les avait lavé jusqu'à en faire partir la couleur.

Il lut l'étiquette de la sonette, s'assurant (même si c'était parfaitement inutile) qu'il était bien arrivé au bon endroit, puis sonna.

On vint rapidement le chercher.
De la tenue et la stature il en déduit rapidement qu'il s'agissait d'un domestique.

- Bonjour, c'est pour quoi ?
- Je suis Octave Brünt, je viens à propos de Galadriel. dit-il calmement et en
 souriant.

Le domestique le toisa quelques secondes, puis sembla se rappeler de quelque chose, on devait probablement lui avoir donné une consigne. Il le fit entrer, lui ouvrit la porte d'entrée du manoir qu'il referma après l'avoir fait passer d'abord d'un grand signe.

- Qu'est-ce qui vous amène chez nous, Monsieur ?
- J'aimerai discuter avec Lucius, pour régler les derniers détails de
notre arrangement.
Le domestique n'en demanda pas plus, et il lui fit signe.

- Je vous prie de bien vouloir attendre par ici quelques instants s'il vous plaît lui dit-il en lui montrant une porte toute proche qui était à demi ouverte.

Octave entra dans la grande pièce, et le domestique disparut dans le couloir.
Il fit le tour du regard, il semblait qu'il était dans une chambre.

Quelqu’un observait à la fenetre d’une des chambres du manoir. Il s’agissait de Galadriel… Fille du feu Erebus Drachenflagrion. Ancien souverain vampire. Tuer par Lucius Drachenflagrion, le frère jumeau de Galadriel. Depuis, le jeune vampire paranoiaque régnait d’une autorité de fer, autant sur son peuple que sur sa chère sœur. Elle ne devait se nourrit que de son sang et inversement, et il avait décider que comme leurs feu parents, devaient se marier.
Galadriel le détester pour avoir assassiner l’homme qu’elle aimait le plus après Lucius. Mais bizarrement un lien l’a connecter à son jumeau, sans quelle arrive à le hair completement, ni a le fuir comme elle l’aurait voulut.
Lucius n’avait « confiance » en elle que quand il l’avait sous son contrôle.

Un beau jour, il sauta à la gorge de leur père après une dispute sur sa succession. En effet, Erebus voulait donner la succession de la souveraineté à la jeune fille. Ce qui n’était pas du goût du garçon.
La vampire avait assister à la scène, Erebus n’avait pas résisté, pensant pouvoir arrêter son fils facilement, comme toujours. Sauf que ce ne fut pas cela qui tua le puissant vampire, mais l’augmentation soudaine du pouvoir de Lucius.

Petite leçon sur les vampires de sang pur :
Ils possèdent certains pouvoirs.
Erebus pouvait réduire en cendre n’importe quel solide.
Lucius pouvait maintenir ou serrer n’importe quel solide, dont le corps d’Erebus pour le maintenir en place pendant qu’il se délecté de son sang. Et serrer le cerveau de son père, pour l’empêcher d’activer son pouvoir…
Les larmes de galadriel se mirent à affluer quand elle senti l’odeur du sang de son père emplir la pièce, ses yeux devinrent miroir quand à cause du lien avec son jumeau ressentait le sang glacial de son cher père couler avidement dans la gorge de son frère… Enfin, elle tomba à genoux sur le sol quand l’être lui ayant donner possibilité de vie s’écroula en poussière bleuâtre sur le sol.
La vampire resta fermée en elle pendant dès mois, ne se nourrissant plus ; car n’en ayant plus la possibilité car son serviteur fut aussi assassiné par Lucius. Elle était rester comme ça, assise dans une chaise, dans la chambre de Lucius, celui-ci se nourrissant d’elle jour après jour pour « l’habituer » à la nouvelle routine de vie qu’il lui imposait.

Bien sur, elle a fini par sortir de son mutisme, redevenant petit à petit la vampire qu’elle était. Bien qu’aujourd’hui, elle était un peu plus détachée et autoritaire qu’avant. Pour se protéger de son satané frère.

Galadriel s’était étonnée quand il y a quelque jours, Lucius lui avait annoncé qu’elle allait se marié avec un autre homme que lui. Etrange venant de sa part, jamais Lucius n’aurait céder sa sœur à quelqu’un, sauf si ce quelqu’un avait marchander… Lucius avait du passer des heures à émettre des conditions.

Elle ne serrait jamais libérée de son joug, se doutait-elle…

Bien, la voiture du « fiancé » venait d’arriver. Galadriel continuait à se préparer. Soudain, quelqu’un entra dans sa chambre, se plaçant dans son dos, l’agripant par les hanches fermement.

« Tu es à moi… Pour toujours et à jamais… Nous sommes liés… Tu me reviendra toujours… Même si tu essaye de fuir… Ne l’oublie pas... »
Puis l’homme svelte aux cheveux sombre lécha la nuque de la vampire, puis parti comme une ombre, sans un bruit. Galadriel n’avait pas bougé, s’était laisser faire, sans sentiment.

Cet homme, Lucius Drachenflagrion devait avoir 23 ans en physique humain, mais avait envirion 300 ans. Il avait un regard froid et confiant. Il entra dans la chambre ou se trouver le jeune homme invité. Il portait un pantalon cintré gris et un pull à col rouler fin de couleur noir. Il avait une coupe de cheveux mi-longue, mais en y faisant attetion, derrière, partant de sa nuque à son dos, une très longue et fine queue de cheval. Ses cheveux étant de couleur violet aux reflets noir. Ses yeux étaient étrange. Le gauche était d’un blanc nacré et le droit d’une lueur violette mystique presque luisante.
Cet œil blanc était le signe de jumeau monozygotes vampirique, très rare en ce monde, la couleur de leur yeux indique un lien étrange en eux.
Il n’était donc pas aveugle d’un œil. Il s’assit au bureau se trouvant dans la chambre, en face d’Octave.

« Octave, bonjour, comment allez-vous ? On m’a dit que vous vouliez encore discuter des conditions avant de rencontrer ma chère sœur ? »

Octave sourit en voyant Lucius arriver.
Ils allaient enfin pouvoir conclure leur marché.

Lucius et lui se connaissaient depuis quelques temps, principalement de part les relations de leurs parents respectifs.
Ils avaient déjà discuté de cette union, mais ils devaient y mettre les formes finales désormais. En effet, Lucius était assez particulier dans ses exigences ; mais cela n'avait pas tant d'importance.
De toute manière son père avait été très clair avec lui.

Il souhaitait que son fils et Galadriel s'unissent. Et il le lui avait fermement fait comprendre. En retour, Lucius était quant à lui impatient d'avoir autre chose sous la main que des domestiques, et le peu d'humaines avec qui il s'était amusé auparavant n'avait pas durées très longtemps.
Julius lui avait fait un long discours, sur l'importance de la lignée, de continuer les traditions ; le tout avec beaucoup de passion et d'intérêt, et bien entendu un peu d'inquiétude, qui s'était ensuite suivi par une discussion très animée entre les deux vampires qui s'était tenue jusque tôt dans la matinée.
Galadriel Drachenflagrion ferait une parfaite épouse, là-dessus ils étaient tous les deux d'accord.


La mise en place des conditions avec son frère possessif avait été un peu plus rude, intérieurement tout du moins. Octave l'avait fait seul face à Lucius, pour montrer et à son père et à ce dernier qu'il avait parfaitement assimilé l'importance de cette union, et aussi par défi.
Lucius souhaitait en effet que sa sœur ne se nourrisse jamais de quoi que ce soit d'autre que du sang de son frère, et réciproquement. Octave n'était jamais censé pouvoir y toucher. Du moins en principe. Il avait consenti à ce que l'alimentation de Galadriel soit remplacée par le sang d'Octave, mais uniquement du sien. Et enfin, ils devaient habiter suffisamment proche pour que Lucius puisse venir aisément quand cela lui ferait envie.

Julius avait évidemment une seconde demeure, plus proche du manoir des Drachenflagrion que leur manoir familial, et il avait consenti à ce que son fils l'occuppe à temps plein, et lui avait déjà envoyé ses affaires et des domestiques pour préparer la maison.


— Je voulais simplement m'assurer que nous soyons d'accord. Père m'a laissé notre résidence secondaire, qui se trouve assez proche d'ici. il lista ensuite brièvement les conditions par rapport à la nourriture pour vérifier que Lucius était toujours d'accord ; puis lui donna sa nouvelle adresse, afin que Lucius puisse venir comme convenu lorsqu'il le voulait.
il faudrait qu'il donne la consigne aux domestiques. Qu'il n'aie pas à s'expliquer à chaque fois qu'il vient, sinon cela le mettrai rapidement en colère et il vallait mieux éviter cela. pensa-t-il, se faisant une note mentale pour la suite da la journée.

Lucius se crispa quelque peu en écoutant Octave, puis sourit froidement. Posant ses coudes sur le bureau, et joignant ses mains, il posa ensuite son menton sur des doigts.

« Vous vous méprenez Octave. Ce n’est pas moi qui viendra, mais elle qui viendra à moi quand j’en formulerais la demande. »

Finalement, sans attendre de réponse, il se leva du siège confortable de feu Erebus. Et s’arrêta avant de sortir.
« Je vous en prie, asseyez-vous à ma place, je vous envoie ma sœur. Pour que vous… Fassiez connaissance... »

Il parti enfin, riant froidement. Il se dirigea à nouveau vers la chambre de sa sœur et entra de nouveau.
« Va y, il t’attend. Dans ‘sa’ chambre »
Et s’en alla comme si de rien n’était.

Galadriel n’avait toujours pas bouger d’un pouce. Elle respirait lentement. Se décidant à revenir devant sa coiffeuse en bois. Galadriel ressemblait a Lucius en version fille. Svelte, même taille. Même visage. Sauf que l’oeil nacré était le droit la concernant, son œil gauche, il était bleu nuit avec des éclats de blanc. Elle avait une franche et les cheveux long et épais jusqu’au milieu du dos de couleur bleu turquoise. Elle portait une jupe plissée allant juste un peu en dessous du genoux noir, avec un blaser et une chemise noir. La seule chose de grise était sa serviette, comme pour un costume d’homme.
Elle portait de longue bottes moulante faite pour courir. A sa ceinture, elle n’avait pas encore retirer le mini foureau qu’elle utilisait pour ranger son sabre pour ses cours. Elle fini par sortir de la chambre pour se diriger vers celle de son père. Puis entra, sans un mot, et s’assit sur un sofa à l’autre bout du bureau, dans une sorte de petite antrechambre.

« Pourquoi etes vous assit à ce bureau ? Il s’agit du bureau de mon père, vous n’avez rien a y faire »
Invitation bien froide à s’asseoir sur le sofa en face d’elle.

Octave vit le visage de son interlocuteur se figer lorsqu'il parlait. Ah, je crois que j'ai dit quelque chose qui l'a dérangé pensa-t-il.
Puis il compris, quand ce dernier le corrigea. Ainsi donc il voulait que ce soit Galadriel qui fasse le déplacement, et non lui. Il ne voulait certainement pas s'abaisser à venir toquer à une porte lorsque l'envie lui prendrait de voir sa sœur.
Il ne dit pas un mot cependant, restant parfaitement calme et maîtrisé.

Lorsque Lucius l'invita à prendre sa place en partant, il se leva, le regarda partir et ne s'assit au bureau qu'alors qu'il était seul dans la pièce. Il repassa dans sa mémoire les quelques images et réactions de Lucius, de sorte de bien s'imprégner de son état d'esprit du moment. Il voulait que pour le moment tout se passe au mieux.

Puis Galadriel entra dans la pièce sans un mot ; Octave la suivit du regard en souriant, attendant une réaction de sa part.
Mais elle ne semblait pas franchement être contente de sa présence. Est-ce qu'elle avait la moindre idée de ce qui l'attendait ?

— Pourquoi etes vous assit à ce bureau ? Il s’agit du bureau de mon père, vous n’avez rien a y faire.
À ces mots, Octave se leva doucement, il était toujours très calme.
Il resta debout derrière le bureau, toujours souriant ; comme s'il n'avait pas remarqué le ton glacial de Galadriel.
— Lucius m'a invité à m'asseoir ici en vous attendant.

Il fit ensuite le tour du bureau, prit place sur le sofa qui faisait face à Galadriel, et s'enfonça confortablement tout en croisant les bras.
Il attendit un peu, avant de reprendre la parole.

« Bonjour, je suis Octave » lui addressa-t-il poliment, afin de lui rappeler qu'elle aurait pu être plus polie avec lui. Et surtout, moins aggressive.
« Vous savez pourquoi je suis ici ? » demanda-t-il ensuite.

La vampire garda longtemps le silence. Elle réfléchissait lentement. Pourquoi cette chambre ? Pourquoi pas sa propre chambre ? Ou bien un des salon privé ? Pourquoi… Puis soudain tout fût clair dans son esprit. Lucius cherche à la contrôler, même pendant et après le mariage… Ayant était choquer par la mort de son père, sa présence et celle d’un vampire qui exercera hypothétiquement un contrôle sur elle, Lucius devait pensé que les souvenirs que cette chambre provoquerait en elle la rendrait plus docile à cette union.

Mais quelque chose l’a génée, elle ne comprenait pas les agissements de son frère. Lui qui voulait qu’elle ne se nourrisse habituellement que de son sang et inversement, de plus il avait décider que plus tard, il s’unirait à elle. Pourquoi avait-il changer d’avis soudainement ? Qu’est-ce que cette famille de vampire venait de lui offrir pour qu’il se ravise.

« Bien sur que je le sais, j’ignore juste les termes du contrat. Qu’avez-vous promi à mon frère pour qu’il cède ainsi ? Cela ne lui ressemble pas. Vous devez savoir que des jumeaux monozygotes au sein des vampires, et, qui plus est dans la famille souveraine est des plus précieux... »

Octave rit en entandant l'interrogation de Galadriel. Et ce, pour deux raisons.

La première était qu'effectivement Lucius voulait toujours autant se garder sa jumelle pour lui ; mais il savait qu'il était plus sage de la faire s'unir avec un clan voisin, d'autant plus que comme elle l'avait si bien souligné, elle et son frère ont une disposition qui est très rare.

La seconde était qu'Octave trouvait cette jeune vampire un peu trop curieuse. Certes, il s'agissait aussi de son avenir, mais si son propre frère avait donné son accort pour cette union, c'était nécessairement pour une certaine raison. Et quoi qu'il en soit, elle n'avait pas à en connaître tous les détails. C'était à la fois inutile et déplacé.
Et il dut se retenir pour paraître 'gentil' encore un moment, il ne devait pas craquer.

Pas maintenant.

Il réussit à calmer son rire, et répondit à Galadriel :
« Je ne l'ai pas forcé si c'est ce que vous craignez. Et pour le reste, cela ne te regarde pas » finit-il avec un sourire en coin.
Eh zut. Tant pis.

Qu'elle reste à sa place.

Galadriel observait le jeune Octave qui se trouvait en face d’elle. Il était séduisant, il fallait l’avouer. Même s’il n’était pas son idéal masculin. La vampire n’était pas du tout contre ce mariage, juste, elle aurait aimer choisir elle-même son futur mari.

Finalement… Elle n’était pas totalement sous le charme du vampire, car une de ses parole l’a piqua au vif. Elle était une vampire au sang pur, donc possédait un pouvoir… Ce que seul les souverains possédaient. Son œil bleu brilla, et une pointe de cheveux d’Octave s’enflamma quelque peu pour ensuite s’éteindre en une petite fumée grise…

« Attention au ton que vous employez avec moi. J’ai beau être la cadette, et être sous le joug de mon frère, je suis une sang pur, et surtout de la famille souveraine. Vous me devez un respect certain. Je ne veux point me méler des affaires que vous faite avec mon frère, simplement, je suis curieuse de savoir ce qu’un vampire inconnu à bien pu proposer à mon frère qui est bien connu pour s’accrocher à ses… ‘choses’… violemment… Je me fiche de la valeur de votre offre. »

Lucius avait beau se faire respecter par les autres comme feu son père, mais surtout à cause de ses excès de rages, contrairement à Galadriel qui possédée la prestance, l’écoute, la froideur, l’écoute et la sagesse de son père. Cela aurait été tellement mieux si c’était elle qui avait hérité, sans que Lucius assassine son père… Ou alors… Si seulement le Conclave était intervenu après cette horreur pour enfermer son frère… Comme ils le font si bien habituellement…

« Dites-vous une chose… Je ne suis pas opposée à cette union. J’ai besoin de m’éloigner de mon frère. Et si cela inclut qu’il faut que je me mari, alors ce sera comme cela. Même si je sais que je serait toujours lié à lui, cela me permettra de respirer, d’avoir un semblant de vie. Je ne suis pas opposée à vous. Mais laissez moi le temps de vous connaître. D’ailleurs, je pense que Lucius m’a laisser a vous mais qu’en échange je devrais aller le voir pour le nourrir, n’est-ce pas ? »

Octave ne réagit pas lorsque la vampire tenta de mettre le feu.
Il savait qu'elle n'irait pas jusqu'au bout. Ceci dit, elle avait du caractère, il fallait bien le reconnaître. Elle commençait à vraiment beaucoup lui plaîre.
Il allait bien s'amuser, oh ça oui…

Il passa la main sur sa chevelure brièvement sur l'endroit qui avait pris feu, simplement, et son sourire s'effaça de son visage, mais il la soutenait du regard malgré cela. Il perdit toute expression, son regard devint froid comme de l'acier.
« Ne vous méprenez pas, ce n'était pas un manque de respect. Simplement une mise en garde. Je n'ai pas envie de discuter de cela, pas avec vous, en tout cas pas en ces lieux. »

Il soupira, puis ajouta ensuite lorsqu'elle aborda un des termes de l'accord avec Lucius :
« Oui, en effet. »

Il se garda bien d'ajouter qu'il trouvait que Lucius prenait sa sœur un peu trop pour son petit chien, et qu'il avait surtout bien envie de voir s'il était capable de se nourrir d'autre chose que du sang de sa jumelle, s'il y était forcé, ou s'il "s'abaisserait" à boire autre chose…

À cette pensée, ses traits se détendirent. Il eut envie de sourire mais n'en fit rien.

« Nous avons tout le temps d'apprendre à nous connaître, et vivre en dehors du manoir va probablement changer vos habitudes. Même s'il vous faudra revenir régulièrement, comme l'a effectivement demandé Lucius. »